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 Plus
    qu'un 
hommage...

BÉRU DE BANLIEUE est un album d’adaptations de chansons de Bérurier Noir, groupe phare de la scène alternative française des années 1980, en version acoustique, musicalement positionné entre Le Vent du Nord et Vilain Pingouin….

Au programme: podorythmie (tapage de pieds), guitares acoustiques, violon, accordéon, contrebasse, mandoline, piano, flûte, etc... 

 

Tu as porté ça dans ta jeunesse?  Béru de banlieue est pour toi!

C'est un peu moi...

En tant que papa de deux adolescentes, je constate à  regret à quel point les jeunes ne sont pas moins en danger aujourd’hui qu’ils ne l’étaient dans les années 1980, à  l’époque où BxN chantait « Mineurs en danger ».

J’ai l’impression qu’ils le sont même plus que jamais! 

 ... mais c'est beaucoup vous! 

Public cible: principalement les personnes de 40 ans et plus. 

À commencer par celles ayant déjà « fréquenté » le groupe Bérurier Noir (et Banlieue Rouge!) ou le mouvement punk en général.

J'expose la dualité de l’homme ou de la femme qui a perdu de sa rage avec les  années mais qui a conservé sa capacité de s’indigner.

Avec l’actualité mondiale (pandémie, changements climatiques, géopolitique...),

je saisis le sens de l’expression No Futur! 

Un projet original... 

Il existe une multitude d’hommages à BxN. Avec "Bérurier de Banlieue", je voulais le faire à ma façon, dans un format professionnel et tout à fait original. Pour ne pas dire pratiquement inédit…

En effet, après de longues recherches en ligne, force est de constater que personne n’a encore réalisé un hommage à Béru dans le format que je propose.

La quasi totalité des vidéos en ligne sont des reprises de groupes « électriques ».

Les très rares versions acoustiques sont généralement faites dans un format très "maison"...

Ma démarche artistique... 

D’un point de vue technique, les « power chords » punks étant dépourvus de tierces, le principal défi est de découvrir le caractère majeur ou mineur de chaque accord des chansons. D’un point de vue esthétique, le plus grand défi est de trouver une ligne conductrice au projet, certaines chansons étant plus difficiles que d’autres à adapter en accords ouverts. Pour utiliser une métaphore, j’ai décidé de «défaire» les chansons et de les remonter, comme un meuble…

J’ai remplacé la guitare électrique par des guitares acoustiques (classique, 6 cordes et 12 cordes) et la boite à rythmes par une batterie et, même, de la podorythmie (tapage de pieds), très caractéristique du notre folklore.  J’ai aussi ajouté d’autres instruments, utilisés depuis longtemps dans le répertoire folk et trad québécois: piano, harmonica, contrebasse, violon, mandoline...

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